Suivre Jésus dans sa rencontre avec la femme adultère (Jean 8,1-11)

Préambule

C’est une page que le Pape François a beaucoup commentée pendant cette année de la miséricorde, et c’est par cette page de l’Évangile qu’il commence la lettre apostolique « Misericordia et misera »[1] qui conclut le jubilé de la miséricorde en appelant à ce que la miséricorde ne soit pas une parenthèse mais l’existence même de l’Église qui rend visible la vérité profonde de l’Évangile. Le titre même de sa lettre apostolique vient d’un commentaire de Saint Augustin sur l’Évangile de la femme adultère. Je t’invite à lire longuement le 1er paragraphe de cette lettre apostolique : en lui-même, et aussi avec l’ensemble de cette lettre apostolique, il est réponse aux dubia des 4 cardinaux.

La rencontre de Jésus avec la femme adultère est une page d’Évangile que j’ai commentée, racontée, mimée même, de multiples fois en rencontrant des personnes vivant des détresses fortes qui étaient persuadées qu’elles étaient « punies par Dieu », que la mort à laquelle elles étaient confrontées leur était envoyée par Dieu.

Le type de partage fait avec des personnes s’interrogeant sur le pourquoi de la souffrance

Ce sont donc de multiples rencontres, au cours desquelles je faisais un petit parcours en évoquant divers textes :

–     Jésus commentant la répression contre les galiléens par Pilate et la mort de 18 personnes dans la chute de la tour de Siloé[2] et Jésus demandant : « Pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que les autres… ? Non, je vous le dis, mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de la même façon. » (c’est-à-dire sans avoir connu, reconnu, accueilli le Messie qui est là devant vous et vient manifester l’amour miséricordieux du Père) ;

–     L’aveugle né[3], avec la question des disciples convaincus que la maladie était une punition de Dieu : « Rabbi, qui a péché pour qu’il soit né aveugle, lui (et j’ajoutais : comment a-t-il pu pécher dans le ventre de sa mère), ou ses parents ? » Et nous connaissons la réponse catégorique de Jésus : « Ni lui ni ses parents ». Ici, Jésus refuse absolument cette explication de la maladie conséquence du péché. Et Jésus ajoute : « Mais c’est pour que les œuvres de Dieu se manifestent en lui ! ». Le « pour que » n’est pas à interpréter comme si Dieu avait causé la maladie pour l’utiliser afin de donner une leçon, mais cette rencontre d’un malade devient l’occasion pour Jésus de poser un signe fort et de manifester que c’est par lui que l’on passe des ténèbres à la lumière. Nous connaissons la finale de cette page d’Évangile où les pharisiens, les docteurs de la loi, qui étaient sûrs de leurs raisonnements sur la morale, sur la Loi immuable, eux qui étaient convaincus que cet aveugle était pécheur et encore plus que Jésus était un blasphémateur, quand ils entendent Jésus leur dire : « Je suis venu pour une remise en question, afin que ceux qui ne voyaient pas voient, et que ceux qui voyaient deviennent aveugles » répondent : « Est-ce que par hasard, nous serions des aveugles, nous aussi ? »

–     Dans les accompagnements de ces personnes en grande souffrance, je reprenais aussi le récit de la mort de Jésus sur la croix notamment chez St Marc et la manière de Jésus de ne pas répondre au pourquoi de la souffrance et nous rejoindre jusque dans ce « pourquoi m’as-tu abandonné ? »[4], lui qui a souffert de tristesse et d’angoisse.[5]

–     Le parcours se terminait régulièrement par une évocation de Jésus et Zachée[6] et je t’invite vivement à aller lire le récit de la conversion de Pascale Schipman[7] qui se sentait « indigne » de recevoir la communion et qui s’est laissée toucher par ce désir si fort de Jésus : « Zachée, descend vite, il me faut aujourd’hui demeurer dans ta maison »… dans ton cœur, dans ta vie. Nous connaissons bien la réaction des pharisiens, des spécialistes de la loi morale de l’époque, qui murmuraient, tous, en voyant Jésus entrer chez Zachée : « C’est chez un pécheur qu’il est allé demeurer ! » Nous savons aussi comment Zachée s’est laissé toucher par la grâce et la joie du Christ « venu chercher et sauver ce qui était perdu. » C’est ce désir de Jésus qui habite si fort le Pape François et qui doit nous habiter tous, auquel nous devons collaborer, sauf à risquer de nous couper nous-mêmes du salut.

Une rencontre avec une prostituée

Dans toutes ces rencontres au cours desquelles j’ai évoqué ces pages d’Évangiles et plus particulièrement la rencontre de Jésus avec cette femme surprise en délit d’adultère, il y en a une qui m’a particulièrement marqué.

J’étais séminariste, habitant en HLM aux Minguettes, et une maman est venue à la paroisse en tirant sa fille de 12 ans par les cheveux qui lui descendaient jusqu’en dans le bas des reins et en criant : « Dites-lui que son frère est vivant, sinon je me tue ! Les témoins de Jehova ont dit qu’il était perdu et vous, que dites-vous ? » et encore : « Je veux qu’elle fasse sa communion, de force s’il le faut ! » Je lui ai proposé de venir lui rendre visite chez elle. Là, dans une de ces grandes barres, je me suis retrouvé dans un appartement transformé en « mausolée ». La maman faisait un deuil pathologique de son fils mort dans un accident survenu à l’armée. Comme je terminais de raconter en mimant un peu l’Évangile de la femme adultère, cette maman s’est levée subitement, a été prendre tous les livres que lui avaient laissés les Témoins de Jehovah en me demandant de les emporter parce qu’elle ne voulait plus les écouter[8], et elle a ajouté : « Et moi qui croyais que c’était à cause de tous mes maris. » J’ai eu la curiosité d’ouvrir la Bible des témoins de Jehovah et j’ai pu constater qu’ils avaient supprimé le passage de la rencontre entre Jésus et la femme adultère. Je ne me suis pas gêné pour commenter ce fait que les spécialistes de la morale que sont les témoins de Jehovah ne peuvent pas supporter que Jésus ne condamne pas cette femme adultère. S’ils le pouvaient, je pense que les témoins de Jehova diraient à Jésus qu’il légitimait l’adultère.[9] En tous cas, cela les a convaincus de retirer ce passage.

L’histoire ne s’arrête pas là : quand je suis repassé la voir, nous avons eu ce dialogue :

–     « Vous vous souvenez de l’Évangile que vous m’avez raconté la dernière fois ? »

–     « Oui, pourquoi ? »

–     « Eh bien, à la fin, Jésus dit : ‘Va et désormais ne pèche plus’… mais, il faut bien que je vive, que je permette à ma fille de vivre, alors comment faire ? »

Elle était prostituée. Je ne reprends pas le reste de notre partage et l’ai accompagnée dans la durée. J’ai essayé de chercher avec elle les petits pas qu’elle pouvait faire, et surtout de lui faire sentir le regard d’amour du Christ qui la rejoignait là. Nous avons aussi évoqué le péché d’une société qui laisse des gens à la marge, sans les moyens de vivre, condamnés à vendre leur corps, acceptant tant d’inégalités entre les plus riches et les plus pauvres. Mais ce péché là n’empêche pas de communier, bien que l’on soit dans une « situation objective de péché grave habituel », et même « mortel » comme le montre la parabole du pauvre Lazare à la porte du riche.[10]

La rencontre de Jésus et la femme adultère, et celle entre Jésus et les pharisiens[11]

Pour bien sentir la violence de cette rencontre entre Jésus et les pharisiens, car c’est en fait la rencontre principale de ce récit, l’autre survenant « par accident », comme « prétexte » à la première, les pharisiens n’ayant pas peur de sacrifier la vie d’une femme qu’ils utilisent contre Jésus, il est bon d’avoir vu des images de lapidations de femmes que l’on trouve parfois sur youtube, ces femmes d’abord mises à nu, puis tuées. Cela évite de lire ce texte comme une simple discussion théorique, cela fait bien sentir la violence qui habitait ces pharisiens, ces spécialistes de la Loi de l’époque.

Nous connaissons le contexte : les pharisiens cherchent à condamner Jésus qui prétend être le Messie, le Fils de Dieu. Cela s’est exprimé très fort après la guérison du paralytique à la piscine de Bethzata[12] au point que Jésus s’est replié en Galilée et ne parcourt plus la Judée[13] avant de monter à Jérusalem pour la fête des Tentes sans se faire voir, presque secrètement[14], puisque Jésus leur demande : « Pourquoi cherchez-vous à me faire mourir ? »[15]. Les pharisiens envoyèrent même des gardes pour l’arrêter[16], mais ceux-ci revinrent sans l’avoir arrêté en disant : « Jamais homme n’a parlé comme cet homme. »[17] Nicodème, l’un des pharisiens, celui-là même qui était allé trouver Jésus de nuit[18], osera s’opposer à ces hommes de mauvaise foi et demander : « Notre loi condamnerait-elle un homme sans l’avoir entendu et sans savoir ce qu’il a fait ? »[19]

C’est donc dans ce climat de procès à charge mené contre Jésus par les pharisiens que survient cette rencontre dans toute sa violence. La polémique se poursuivra et le chapitre d’où est tiré le récit de la femme adultère se termine par ce verset : « Les pharisiens ramassèrent des pierres pour les lancer sur Jésus, mais il se déroba et sortit du Temple. »[20]

Cette femme est donc utilisée pour condamner Jésus. Les pharisiens la traînent devant Jésus, et, tout en ayant « oublié » d’amener l’homme avec qui elle avait péché, feignant d’être en recherche de la vérité, feignant d’être dans une attitude de respect vis-à-vis de Jésus, ils lui demandent :

–     « Maître, cette femme a été prise en flagrant délit d’adultère. Dans la Loi, Moïse nous a prescrit de lapider ces femmes-là. Et toi, qu’en dis-tu ? »[21]

Jean prend la peine de préciser : « Ils parlaient ainsi dans l’intention de lui tendre un piège pour avoir de quoi l’accuser. » et le récit se poursuit : « Mais Jésus, se baissant, se mit à tracer du doigt des traits sur le sol. » [22]

Qu’a-t-il pensé pendant ce temps ?

D’abord, devant ce déferlement de violence de la part des pharisiens prenant à parti Jésus pour tuer cette femme, cherchant à le tuer lui-même, Jésus s’est incliné, abaissé, comme il s’est abaissé en venant sur notre terre par amour[23], comme il l’a fait devant ses disciples en leur lavant les pieds au moment où il leur donne ses dernières instructions, le commandement de l’amour, de la vie donnée, nous appelant à faire cela en mémoire de lui.[24]

Il s’est abaissé devant qui ? Aussi bien devant cette femme, cette coupable d’un « péché mortel », que devant ces pharisiens et devant la foule, devant nous aussi qui lisons aujourd’hui ce texte d’Évangile.

Il a dû réfléchir à la réponse qu’il pourrait donner à la question posée, pas une question posée de manière théorique, mais une question de vie et de mort pour cette femme, pour lui, pour l’humanité à laquelle il venait apporter son message d’amour. Cette question avait la forme d’un « dubium »[25]. Il s’agissait de répondre par « oui » ou par « non ».

–     S’il disait « oui, il faut lapider cette femme comme le prescrit la Loi », il se mettait en contradiction avec le message d’amour qu’il apportait, et il devenait responsable de la mort de cette femme.

–     S’il disait « non, il ne faut pas lapider cette femme », il se mettait en contradiction avec la loi de Moïse, lui qui pourtant a aussi dit « qu’il ne venait pas abolir mais accomplir la loi » et qui annonçait que « pas un i, pas un point sur le i ne passerait. »[26]

Il était enfermé dans un piège. Il réfléchissait, mais je crois surtout qu’il priait :

–     Il priait le Père de mettre dans sa bouche, par l’Esprit Saint, les paroles à dire, lui qui ne parlait pas de lui-même[27], mais qui disait seulement ce que le Père lui avait enseigné[28].

–     Il priait pour cette femme, lui qui se laissait saisir de compassion devant l’humanité souffrante, défigurée, rejetée.

–     Il priait sûrement tout aussi fort pour ceux qui le questionnaient, pour les sauver eux-aussi, pour qu’ils sortent de ce projet doublement mortifère, lui qui a pleuré sur Jérusalem « qui n’avait pas su reconnaître le temps où elle a été visitée »[29], lui qui, sur la croix, condamné par ces mêmes pharisiens a prié ainsi : « Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font. »[30]

Permets-moi de te dire que je fais confiance au Pape François et suis certain que c’est cette même attitude de prière qui l’habite lui et ses collaborateurs et non pas les sentiments que lui prêtent ceux qui l’attaquent comme Clémentine Jallais dont tu nous as envoyé l’article.

Mais le temps du silence n’a pas suffi aux pharisiens pour rentrer en eux-mêmes. La prière de Jésus pour eux ne donnait pas encore le fruit voulu.

« Comme ils continuaient à lui poser des questions, Jésus se redressa et leur dit : « Que celui d’entre vous qui n’a jamais péché lui jette la première pierre. » Et s’inclinant de nouveau, il se remit à tracer des traits sur le sol. »[31]

Par cette phrase, Jésus retourne la situation. Il oblige les pharisiens à sortir pour une part de la perversion. Jusque là, ils n’étaient pas « sous la Loi », préoccupés de laisser la Parole de Dieu les questionner eux, les conduire eux à la conversion. Ils n’étaient pas dans l’attitude de Samuel : « Parle, Seigneur, ton serviteur écoute. »[32] Ils avaient fait de la Parole de Dieu dont ils prétendaient être les maîtres une arme pour condamner Jésus et condamner cette femme.

Dans ce passage, comment ne pas voir que la « vérité morale » n’est pas d’ordre binaire, oui ou non, blanc ou noir ? Comment ne pas voir le risque qui est pour nous aujourd’hui encore de nous situer en pharisiens ?

A la lumière de ce passage, on comprend mieux tous les passages où Jésus traite les pharisiens d’hypocrites, eux, les spécialistes de la Parole de Dieu, de la Loi, de la Morale, les chefs religieux, ceux qui se pensaient purs. Matthieu utilise 13 fois le qualificatif « hypocrite » et toujours en relation avec les pharisiens, allant jusqu’à dire : « Malheureux êtes-vous, scribes et Pharisiens hypocrites, vous qui ressemblez à des sépulcres blanchis : au-dehors ils ont belle apparence, mais au-dedans ils sont pleins d’ossements de morts et d’impuretés de toutes sortes. »[33]

Quand je lis tous ces passages où Jésus essaye de secouer les pharisiens, je commence toujours par m’identifier aux pharisiens, me dire que ceux qui risquent d’être dans le rôle des pharisiens d’aujourd’hui, c’est nous : d’abord nous, les prêtres et responsables religieux, mais aussi nous tous les baptisés pratiquants quand nous nous situons de la même manière.

Je me rappelle aussi qu’il n’y a pas besoin de pierres pour lapider et tuer : les paroles malveillantes de quelqu’ordre qu’elles soient, en particulier les calomnies, tous ces « commérages »[34] contre lesquels le Pape François nous alerte sans cesse, ont un pouvoir aussi fort.

Là, enfin, les pharisiens se remettent sous la Parole de Dieu qu’ils accueillent pour eux-mêmes.

« Après avoir entendu ces paroles, ils se retirèrent l’un après l’autre, à commencer par les plus âgés, et Jésus resta seul. »[35]

J’aime le réalisme de cette page d’Évangile : ceux qui partent les premiers sont les plus âgés… Pourquoi ? parce qu’ils ont eu plus de temps que les autres pour pécher !

Mais les pharisiens n’ont fait qu’une partie du chemin. Ils n’utilisent plus le texte de la Loi contre Jésus et contre la femme, ils ont osé faire la vérité sur leur vie à la lumière de la Loi écrite, mais ils se retirèrent au lieu d’aller à Celui qui est la Loi, la Torah, le Chemin vers le Père, l’amour, la miséricorde. Ils ont pris conscience de leurs manquements à la loi morale écrite sans se laisser rencontrer par le Sauveur. Comme le jeune homme riche[36], même si Jean ne le dit pas, ils ont dû s’en aller « tout tristes ». N’ayant toujours pas rencontré en Jésus le Messie, ils sont surtout repartis encore plus remplis de colère de ne pas avoir réussi à coincer Jésus. Dans les versets qui suivent, Jésus leur dit : « Lorsque vous aurez élevé le Fils de l’homme, vous connaîtrez que ‘JE SUIS’… »[37]

La femme a été dénudée physiquement et moralement, humiliée devant la foule, reconnue coupable d’un « péché mortel », du moins aux yeux de la Loi des hommes, même si celle-ci est aussi reçue de Dieu, pas de manière si directe que certains peuvent le penser, et pas sans que les hommes aient à grandir à travers les âges dans sa compréhension. La femme ne peut rien cacher, et voilà que Jésus se redresse, la regarde et lui dit :

–     « Personne ne t’a condamnée ? »

–     « Personne, Seigneur »

–     « Moi non plus, je ne te condamne pas : va, et désormais ne pèche plus ».

[1]      http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/apost_letters/documents/papa-francesco-lettera-ap_20161120_misericordia-et-misera.html

       Quand le Pape François l’écrit, il a reçu la lettre des 4 cardinaux et c’est saisissant de lire cette lettre en ayant dans le cœur les questions que ces cardinaux posent. Ils ne peuvent pas dire qu’il ne leur a pas répondu. Par contre, il a refusé leur ultimatum de répondre de manière binaire, pour oui ou par non, comme Jésus avant lui.

[2]      Lc 13,1-5.

[3]      Jn 9

[4]      Mc 15,34.

[5]      Mc 14,33-36.

[6]      Lc 19,1-10.

[7]      En fin de vie, Bruno Cadart, Editions Ressources, Montréal, p. 348 et suivantes. Sur le site internet, dans la catégorie « soins palliatifs », le chemin avec Pascale Schipman.

[8]      Ils disaient que c’était une punition de Dieu, que son fils n’était pas sauvé et qu’il fallait qu’elle entre chez eux pour ne pas connaître la même perdition.

[9]      Une note de la Traduction Œcuménique de la Bible précise que le récit de la femme adultère est omi par les manuscrits les plus anciens mais que le caractère canonique de celui-ci n’est pas à contester.

[10]    Lc 16,19-31.

[11]    Jn 8,1-11

[12]    Jn 5,18

[13]    Jn 7,1

[14]    Jn 7,10

[15]    Jn 7,19

[16]    Jn 7,32

[17]    Jn 7,45-46.

[18]    Jn 3,1-21.

[19]    Jn 7,51.

[20]    Jn 8,59.

[21]    Jn 8,5.

[22]    Jn 8,6.

[23]    Ph 2,1-11.

[24]    Jn 13,1-20.

[25]    Dubium (singulier), Dubia (pluriel) : doute.

[26]    Mt 5,17-20

[27]    Jn 14,10

[28]    Jn 8,28-29 notamment.

[29]    Lc 19,41-44.

[30]    Lc 23,34.

[31]    Jn 8,7.

[32]    1 Sm 3,9

[33]    Mt 23,27.

[34]    On se reportera avec intérêt à son homélie du samedi 18 mai 2013 où le Pape alerte contre 5 façons destructrices de communiquer dans l’Eglise: la comparaison, le « potin », la désinformation, la diffamation et la calomnie. Et le Pape ajoute: “La désinformation, la diffamation et la calomnies sont comme « Donner une gifle à Jésus » à travers ses frères”. (Source: Osservatore Romano et Agence Zenit). Je note cela ici parce que je suis étonné de toutes les rumeurs que certains font courir concernant le Pape François.

[35]    Jn 8,9

[36]    Mt 19,22 ; Mc 10,22 ; Lc 18,23.

[37]    Jn 8, 28-29.

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